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      Retour Actualités > Interview avec le chef d’orchestre Milen Nachev
    Le chef d'orchestre du Shen Yun Symphony Orchestra, Milen Nachev, se prépare pour la tournée 2015 de concerts.

    Interview avec le chef d’orchestre Milen Nachev

    « QUELLE QUE SOIT L’ŒUVRE QUE JE DIRIGE, C’EST TOUJOURS MA MUSIQUE PRÉFÉRÉE DU MOMENT » NOUS A DÉCLARÉ LE CHEF D’ORCHESTRE DU SHEN YUN SYMPHONY ORCHES

    La carrière légendaire du chef d'orchestre Milen Nachev a commencé par de simples leçons de piano à la maison, en Bulgarie, pour se poursuivre par des tutorats avec les professeurs les plus renommés de Russie, puis les États-Unis, jusqu’à Carnegie Hall. C’est ici, à New York, qu'il a élu domicile et a trouvé beaucoup de satisfaction, et même une nouvelle destinée, avec le Shen Yun Symphony Orchestra.

    Nous avons fait une pause avec ce chef d’orchestre pour une interview des plus éclairantes quelques semaines seulement avant sa tournée avec le Shen Yun Symphony Orchestra. L’orchestre cette année va se produire dans 11 villes différentes et retournera, entre autre, au Kennedy Center et à Carnegie Hall.

    Q : M. Natchev, pourriez-vous nous parler de votre première rencontre avec la musique ?

    MN : Je me souviens de ce moment. C’était quand ma grand-mère m'a emmené à ma première leçon de piano et je crois que cette première rencontre avec la musique a changé complètement ma vie. Je n’avais que 5 ans et j’étais profondément amoureux de mon professeur de piano. Elle m'a donné beaucoup de confiance en moi. Un an plus tard, je jouais un album pour enfants de Béla Bartók. Elle m'a envoyé participer à une compétition nationale comme pianiste et j’ai gagné dans mon groupe d'âge. La même année, j’ai joué pour la première fois en public comme pianiste. Bien sûr, c’était devant la famille et les amis, mais c’était un vrai public et l'intensité du spectacle était la même.

    Q : Quand avez-vous choisi de faire carrière dans la musique ? 

    MN : Quelques années plus tard, à l'âge de 9 ans, j’adorais diriger la Symphonie N° 4 de Brahms à la maison. Je la dirigeais en écoutant un de ces disques de vinyle noir. Je dirigeais de mémoire puisque je n'avais jamais vu la partition mais le contact physique entre la musique et les gestes était quelque chose qui m’inspirait profondément.

    À l'école de musique, j’ai appris le piano et la direction de chorale et j’ai eu la très grande chance d'avoir les meilleurs professeurs de l'époque, non seulement des professeurs qui m'ont enseigné la musique, mais des professeurs qui étaient des exemples comme musiciens et comme personnes. L'un d'entre eux, le professeur Vassil Arnaudov, probablement l'un des plus célèbres chefs de chœurs en Bulgarie, fut la principale raison pour laquelle j’ai continué à étudier au conservatoire de Saint-Pétersbourg parce qu'il a fait tout ce qu'il a pu pour m’encourager et m’envoyer là-bas.

    Là, j’ai eu la chance d'étudier avec un homme incroyable, le professeur Ilya Musin –  un professeur qui a enseigné à Yuri Temirkanov, Valery Gergiev et beaucoup, beaucoup de chefs d'orchestre célèbres. C’était un professeur qui pouvait non seulement enseigner la technique de direction d’orchestre et communiquer de façon naturelle par les gestes avec l'orchestre, mais il pouvait enseigner beaucoup de choses liées à la profession de chef d’orchestre, nous permettre de développer notre personnalité et de devenir un musicien complet, tant au niveau théorique qu’au niveau pratique. Chaque jour, il nous donnait des leçons sur la façon de communiquer avec l'orchestre, comment faire des répétitions avec l'orchestre, comment améliorer l'orchestre en très peu de temps et leur donner confiance en eux. Il a été non seulement mon professeur de direction d’orchestre, mais mon deuxième père.

    Q : D’après vous, dans ce contexte et avec cette éducation, et grâce à des dizaines d’années d'expérience de direction de différents orchestres, quels sont les attributs d’un excellent chef d'orchestre ? 

     MN : Gérer la complexité. Vous devez non seulement être très bien préparé musicalement et théoriquement, mais il faut aussi très bien connaître l'histoire de la musique et la capacité de chaque instrument de l'orchestre. Ce qui est primordial est d’être un bon psychologue. Nous ne travaillons pas avec des instruments - nous travaillons avec des personnes qui jouent des instruments. Lorsque vous vous rendez compte de ce point crucial, votre attitude change entièrement et votre seul désir est d’obtenir l'appréciation des gens assis en face de vous et de voir dans leurs yeux que votre comportement, sur le podium, leur est une source d'inspiration et les encourage à donner le meilleur d’eux-mêmes sur la scène. Voilà la plus grande satisfaction qu’un chef d’orchestre peut recevoir et l'orchestre de Shen Yun est une source de tels moments incroyables. Je peux voir l'inspiration. Je peux la sentir dans l'air qui nous entoure.

    Q: Les musiciens de Shen Yun pratiquent la méditation et suivent les enseignements spirituels du Falun Dafa dans leurs vies quotidiennes. Comment cela se ressent-il dans la musique que vous créez et interprétez ?

    MN : Être dans un environnement de cultivation spirituelle aide beaucoup. Nous vivons littéralement ensemble, nous étudions ensemble, nous progressons ensemble, nous méditons ensemble - et ceci crée une énergie positive tout autour de nous. Je n'ai aucun doute que cette énergie positive aide beaucoup quand nous allons sur scène.

    Q: Quand on lit les critiques, il semblerait que les spectateurs fassent souvent des remarques sur l'énergie de la musique, ce qui est un peu inhabituelle.

    MN: Il y a un proverbe : « La musique commence là où les mots finissent. » Si je devais comparer notre orchestre de  Shen Yun avec d'autres orchestres, je dirais que dans Shen Yun nous n'interprétons pas juste une musique, nous ne jouons pas simplement des notes et des airs. Nous allons profondément dans le sens intérieur de la musique, dépassant même le côté émotionnel - la plupart des orchestres s’arrêtent au côté émotionnel, mais nous allons au-delà de cela - pour illustrer la signification plus profonde. C’est comme si un code secret se trouvait à l'intérieur du texte musical et que nous le dévoilions au public. Il n'est pas nécessaire pour eux de comprendre le code secret, mais l'effet et la résonance sont là.

    Et ainsi, dans beaucoup de critiques sur nos concerts, vous voyez des gens parmi les spectateurs dirent qu'ils ont pleuré mais qu’ils ne savent pas pourquoi. Ou ils disent qu'ils se sentent exaltés, mais ils ne savent pas pourquoi. Je dirais que ce qui explique le plus ceci est l'idée qu’à travers la méditation, le développement personnel et l'amélioration personnelle, nous sommes capables de communiquer avec le public pas seulement par la musique qu’ils entendent, mais sur un niveau intérieur plus profond.

    Q : Vous travaillez avec des musiciens du monde entier. Qu'est-ce qui les réunit ?

    MN : Nous avons des musiciens d’Australie, d’Asie, d’Europe, d'Amérique - Ce sont tous, bien sûr, des instrumentistes hors pair et des professionnels de haut niveau. C'est vraiment intéressant de travailler avec des gens de pays qui ont des traditions musicales immenses comme l'Allemagne, l'Italie, ou l'Espagne, mais le pouvoir de la musique et l'environnement spirituel nous rassemblent et unissent nos efforts. Les musiciens travaillent ici certainement mieux ensemble que dans tout autre orchestre que j'ai vu. La raison principale est que nous avons compris la signification plus profonde derrière ce que nous faisons.

    Je me sens, en réalité, extrêmement fier de participer à Shen Yun. Pour moi, le Falun Dafa s’accordait avec mon point de vue sur la vie et ma vision d’un être humain et d'un artiste. Et artistiquement, aussi, je suis fier, la raison en est que nous faisons revivre la culture traditionnelle chinoise – et cela inclut la musique - c’est notre réponse à la Révolution culturelle des années 60 en Chine. À l’époque, ce n’est pas seulement la culture traditionnelle chinoise qui a été presque complètement détruite mais les œuvres de mes compositeurs, poètes, romanciers et peintres classiques occidentaux préférés ont subi le même sort - en Chine leurs œuvres ont été littéralement détruites. J’appelle ceci un crime contre l'humanité. Cet héritage international d’œuvres artistiques multimillénaire a été détruit en seulement quelques années.

    Q : Avec vos origines d’Europe de l'Est, comment arrivez-vous à interpréter les thèmes chinois de Shen Yun ?

    MN : D’abord, nous savons que la musique est un langage international. Deuxièmement, c’est le même problème quand on interprète toutes sortes de musique. J'ai dû développer mon intuition musicale pendant beaucoup, beaucoup d'années en travaillant avec des styles différents, avec des morceaux différents écrits par des compositeurs différents de pays différents qui ont vécu dans des siècles différents. Tout cela a développé mon intuition musicale.

    J'essaye aussi de me familiariser avec le côté populaire de la musique chinoise, pour mieux comprendre les compétences et le potentiel des instruments chinois comme les erhu, pipa, suona, etc. Avec ce langage universel, dès que la porte de votre conscience s’ouvre, vous pouvez facilement trouver le tempo juste, l'articulation juste et le phrasé juste. Bien sûr, j'ai des amis et des collègues qui travaillent avec moi - nous avons beaucoup de discussions avec les compositeurs et les chorégraphes - donc j'apprends en même temps que j'essaye de leur donner ma connaissance. C'est un processus bilatéral.

    Q : Pourriez-vous nous donner un exemple de comment cela se passe ?

    MN : Il y a deux jours, nous avons répété un morceau pour trois solos d’erhu accompagnés par l'orchestre symphonique. Pendant le processus, sans un mot, juste en regardant les yeux des trois solistes, je savais déjà de quoi ils avaient besoin - de quelle sorte de tempo ils avaient besoin, de quel genre de soutien ils avaient besoin, comment nous allions ensemble pouvoir développer la phrase - et mon sentiment était qu'ils avaient aussi totalement compris. Quand j'ai voulu commencer la phrase pour l’amener à sa finalité, ils étaient en accord avec moi - sans aucun mot entre nous.  

    Q : Donc, c'est une communication bien au-delà du langage ?

    MN : Absolument. Un niveau différent de communication. 

    Q : Quels sont les moments enrichissants de cet échange ?

    MN : Il y a beaucoup de moments que je pourrais qualifier d’enrichissants. L’un d'entre eux est ce dont nous venons de parler, l’instant de la compréhension totale et mutuelle entre moi et l'orchestre. Cet échange spirituel et la communication entre nous est quelque chose de transcendantal, au-delà des mots. L'appréciation que je vois dans les yeux des compositeurs, après l'interprétation de leur morceau, est un autre moment satisfaisant. Mais surtout, je me sens récompensé et je ressens de la gratitude pour cette opportunité que le destin m’a donnée de travailler avec un orchestre multinational et d’avoir la chance de partager avec eux mon point de vue.

    Q : Comment décririez-vous le sens du destin ?

    MN : Je pense que c'est le sentiment que vous éprouvez lorsque vous vous sentez à votre place, quand vous vous sentez à l'aise et apprécié. C'est ce que je ressens - j'ai trouvé ma place. Même en regardant en arrière, bien sûr, j'avais la possibilité de rester en Europe et de diriger un orchestre européen, ce n'était pas un problème – mais je voulais me tester dans une situation complètement différente. Quand je suis arrivé aux États-Unis, peu de personnes me connaissaient, peu de personnes étaient au courant de ma discographie ou de mon expérience. Donc, j'ai dû repartir à zéro et j’ai dû attendre de nombreuses années avant de connaître cette occasion. Quand j’ai réalisé que ce n’était pas seulement une promotion professionnelle mais que c’était aussi en correspondance avec ce que je pensais du monde et en harmonie profonde avec mon âme, je me suis dit : « Oh, tu as trouvé ta place ! Maintenant la seule chose qui te reste à faire, c’est de faire ton travail le mieux possible. »

     

    Q : Y a-t-il un morceau en particulier que vous attendez impatiemment de partager avec le public lors de la prochaine tournée ?

    MN : Pour moi, chacun des morceaux dans le programme est associé à différents souvenirs parce qu’avec notre compagnie de danse nous avons interprété presque tous les morceaux autour du monde. Chaque morceau me tient particulièrement à cœur - et pas seulement parce que j'ai dirigé l’orchestre pendant plus de 115 représentations la saison dernière. Les gens me demandent : « Quelle musique préférez-vous ? » Quoi que je dirige maintenant, tout est ma musique préférée. La musique que je dirigerai l'année prochaine sera alors ma musique préférée. C’est donc un lien très spécial.

    Q : Le morceau de Tchaïkovski de cette année - Marche Solennelle - a une histoire intéressante. Pourriez-vous nous en dire plus ?

    MN : C’est l’histoire de comment Tchaïkovski a changé le nom du morceau de Marche du Couronnement à Marche Solennelle. En fait, il y a d’autres exemples où des artistes ont changé le nom de leurs morceaux. Beethoven a fait la même chose avec la Symphonie Héroïque, quand il a créé la Symphonie N° 3. À l’angle supérieur droit, il avait écrit : « À Napoléon », mais lorsque Napoléon s’était déclaré empereur, Beethoven avait effacé son nom et écrit celui de Héroïque.

    Quant à Tchaïkovski, au début, son morceau s’appelait « La Marche du Couronnement. » Il l’avait composé pour le couronnement du Tsar Alexandre III et de sa femme qui était une princesse du Danemark. Pour cette raison Tchaïkovski a, de façon magistrale, inclus des fragments de l’hymne national Russe « Dieu sauve le Tsar » et certains motifs de l’hymne national danois. En 1891, quand Tchaïkovski a dirigé lui-même ce morceau lors de l’inauguration de Carnegie Hall, les critiques ont été plus intéressées par le fait que Tchaïkovski avait changé le nom du morceau alors que la chose la plus intéressante est comment le morceau est composé et à quel point la grandeur montre la puissance de ce morceau.

    Q : Selon vous, quand les gens viendront voir le Shen Yun Symphony Orchestra, quel aspect de la musique les marquera le plus ?

     

    MN : Honnêtement, je pense qu’ils seront très surpris par les sons qu’ils entendront. Le son est tout à fait unique grâce au mariage des instruments occidentaux et des instruments orientaux. Nous travaillons tellement dur pour réussir à atteindre le meilleur ensemble, c’est vraiment un travail difficile que nous faisons, mais notre désir le plus cher est d’être connu pour notre ensemble. Aussi, nous travaillons beaucoup sur l’équilibre des différents groupes d’instruments. Nous essayons toujours de rendre la mélodie extrêmement transparente. En même temps, nous faisons en sorte que chaque détail de la partition soit très clair et précis pour développer un large éventail de couleurs derrière la mélodie. Ce qui fait que nous travaillons a de nombreux niveaux différents. Si vous regardez la partition du chef d’orchestre, pas seulement verticalement - comme l’harmonie, l’équilibre, l’orchestration - mais aussi horizontalement, nous utilisons toutes les manières possibles pour rendre la musique plus impressionnante, pour créer un impact réellement fort sur nos spectateurs. Nous voulons transmettre aux spectateurs non seulement un plaisir émotionnel mais leur permettre aussi de découvrir un monde totalement différent derrière la musique.

     

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